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La lithothérapie déchélatrice

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 Source http://www.homeophyto.com/ 

La lithothérapie déchélatrice consiste en l'usage de roches et de minéraux prélevés dans leur site naturel et dilués sans être purifiés. Elles sont utilisées dans leur totalité.

Elle est aussi une « fille » de l’homéopathie, avec la gemmothérapie, l’organo, l’oligo… On y utilise des souches minérales (roches, minerais, pierres semi-précieuses) broyées, puis diluées et dynamisées jusqu’à la 8ème décimale (D8).
Leur action s’assimile à celle catalyseuse des oligo-éléments. Elle participe à la « correction de terrains » et aussi à l’action sur les symptômes.

Les roches sont employées à des fins médicales depuis la plus haute antiquité.

Ces remèdes se trouvent habituellement sous forme d'ampoules perlinguales d'un millilitre diluées à la huitième décimale.

La valeur thérapeutique des roches est reconnue depuis toujours. De nombreuses études scientifiques modernes ont révélées que certaines maladies apparaissaient plus fréquemment dans des régions où la composition du sol était riche en telle ou telle roche.

Les promoteurs de cette méthode préfèrent employer les roches totales plutôt que leurs seuls sels minéraux ; en effet, il semble que le la roche entière, composée de sels métalliques complémentaires entre eux, a une action plus marquée que le principe actif isolé.

C'est la synergie naturelle des composants de ces roches qui confère à la lithothérapie une efficacité sans doute plus profonde que celle de l'oligothérapie classique. La dilution intervient également ; la D8 est particulièrement adaptée à ce type de substances, assurant aux roches une solubilité totale et une action précise et constante.

Comme son nom l'indique, la lithothérapie déchélatrice est une oligothérapie possédant à la fois un pouvoir catalytique et une action déchélatrice.

La catalyse, rappelons-le, est un processus qui fait intervenir une substance n'ayant, par elle-même, aucune action chimique mais permettant à d'autres substances d'entrer en réaction entre elles. L'organisme a besoin de la présence de certains enzymes pour activer les réactions cellulaires indispensables à son métabolisme. Et c'est là le champ d'action de l'oligothérapie.
La lithothérapie apporte en plus un pouvoir déchélateur, c'est à dire une capacité à libérer les catalyseurs déjà présents dans l'organisme, mais emprisonnés par de grosses molécules issues des polluants de l'industrie, de l'alimentation ou de la pharmacopée chimique.
En résumé, la lithothérapie déchélatrice libère des substances non toxiques et hautement bénéfiques à l'organisme.

La Lithothérapie déchélatrice

 SOURCE Dr. Daniel Scimeca

La lithothérapie est l’utilisation pharmacologique des roches et minéraux en dilution et selon la méthode homéopathique. Elle est dite déchélatrice puisque sa finalité principale ne réside ni dans un apport pondéral en minéraux ni en une action strictement pathogénetique de tel ou tel minéral, mais bien dans la lutte contre la chélation des éléments minéraux dans les tissus. Son mode de préparation par trituration de la roche puis dilution et dynamisation en phase liquide selon la méthode Hahnemannienne classe la lithothérapie dans la pharmacopée homéopathique, même s’il n’existe pas de pathogénésie au sens littéral.La législation européenne a entériné cette place de la lithothérapie au sein de la pharmacopée homéopathique car elle réponds aux deux critères essentiels pour cela :Son utilisation, à défaut de similitude pathogénique, repose sur une analogie entre éléments minéraux et circuits métaboliques et tissus.Son mode de préparation, selon la méthode homéopathique de dilution et de dynamisation. Au sein de cette pharmacopée, elle s’inscrit dans le cadre des biothérapies qui comme la gemmothérapie, la micromycotherapie et l’organothérapie, ont un rôle de drainage et de facilitation des modifications du terrain. Dans le cas précis de la lithothérapie, ce drainage est une déchélation et la dilution optimale pour cela est la huitième décimale (D8)

 Un drainage par la déchélation

Le vieillissement de nos tissus, le stress oxydatif, des pollutions diverses, notre fonctionnement diathésique nous poussent à accumuler au sein de nos tissus et particulièrement le tissu conjonctif de soutien des différents tissus, des éléments chélatés et rendus indisponibles.Parmi ces éléments, il y a des médicaments allopathiques (le cas des benzodiazépines et du tissu adipeux est bien connu), des toxines diverses et beaucoup d’éléments minéraux, qui eux-mêmes chélates les molécules plus complexes et les toxines médicamenteuses ou organiques. Dans notre monde moderne, au vieillissement naturel et programmé, qui sature les membranes et les rigidifie chélatant tout un tas de substances et ralentissement la dynamis du vivant, au stress oxydatif viennent s’ajouter de multiples causes de chélation acquises.

La psore peut être considérée comme une exagération de ce processus naturel de chélation par vieillissement, tissulaire.Les sujets psoriques tireront un grand bénéfice à êtres régulièrement drainés par de grands lithothérapiques comme la soufre natif ou la blende. Les tuberculiniques se déminéralisent en grand partie par chélation. Dolomite, diopside et bien d’autres magnésiens ou phosphorés leur seront utiles pour mieux fixer et optimiser la bio disponibilité de tout ce qui leur manque.

La sycose et son ralentissement sont un facteur majeur de chélation.Les mouvements de l’eau seront facilités par un drainage déchélatant avec des minéraux comme iodargyrite ou erythrite.Enfin la luése est dominée par l’intoxication aux métaux lourds.Les minéraux barytés et mercuriels en particulier seront des déchélatants permettant aux médicaments diathésiques de mieux faire bouger cette diathèse lourde. Enfin la pollution de l’environnement et la pollution des multiples médicaments allopathiques trop couramment consommés sont venus se rajouter faisant du sujet ordinaire urbain de nos sociétés occidentales, un chélaté chronique dont la dynamis a du mal à assurer une homéostasie de ces éléments le plus souvent invisibles et indosables.  

L’utilisation d’un lithotherapique va participer à la dechelation de ces éléments. Chaque roche contient un grand nombre d’éléments differents. Parmi ceux-ci, certains sont des macroéléments utiles, comme le calcium, le magnésium, le fer etc. d’autres sont des oligo éléments utiles comme l’arsenic, le cuivre ou le cobalt. D’autres enfin sont toxiques comme le mercure, le cadmium, les métaux lourds. La lithothérapie va dans tous les cas faciliter la déchelatioin de ces éléments. Ils seront ainsi à nouveau rendus biodisponibles. Cette biodisponibilité permettra de les métaboliser s’ils sont utiles ou de les éliminer s’ils sont nuisibles.Les éléments minéraux ayant un rôle ambigu comme le manganèse, le cuivre, l’arsenic (facilement toxiques, mais nécessaires à faibles doses) pourront voir leur métabolisme régulé. C’est la dilution D8 qui permet vraiment cette déchelation car elle est à la limite du pondéral et de l’infinitésimal. C’est aussi une oligothérapie La D8 a cette propriété d’être à la fois à l’échelle du drainage (par dechelation) mais aussi à l’échelle de la stimulation (comme toutes les basses dilutions) de la capacité d’absorber et de fixer. En plus de la déchelation, s’agissant des minéraux utiles, la dilution D8 favorisera l’absorption et la fixation par l’organisme de certains minéraux comme le magnésium, le fer, le phosphore. Cette oligothérapie n’est pas unitaire puisque chaque roche contient une myriade de substances. 

Un totum de roche

Tout comme une plante ne se résume pas à la somme de tous ses principes actifs, une roche ne se résume pas à sa composition en éléments minéraux. La même logique systémique  qui s’applique à tout ce qui est vivant prévaut et l’on peut parler du totum de la roche tout comme on le fait pour une plante. Chaque roche a donc son profil et entre en résonance analogique avec un tissu, un groupe de tissus, un style de pathologie et une dynamique particulière du vivant perturbé. L’utilisation des roches remonte aussi loin que celle des plantes et il est logique de penser que fut utilisée comme pharmacopée de nos lointains ancêtres, ce qui était à leur directe disposition. La terre, les roches sont donc d’utilisation très archaïque. On retrouve les argiles, mais aussi les poudres de marbre utilisées comme pansement gastrique. Le marbre saccharoïde réduit en poudre et mélangé à l’eau a fort à être comparé à nos gels aluminés d’aujourd’hui. Les romains l’utilisaient largement du fait des indigestions liées à leur alimentation orgiaque. Il pouvait éviter le vomissement préalable au repas ou calmer les brûlures qui le suivaient.Le marbre saccharoïde est un des minéraux utilisés aujourd’hui en lithothérapie avec un tropisme pour la muqueuse gastrique.  

Max Tetau et Claude Bergeret C’est dans les années 70 que les Dr Claude Bergeret et Max Tetau ont jeté les bases de cette lithothérapie déchélatrice et les succès thérapeutiques ont rendu cette approche très populaire chez les médecins homéopathes en France mais aussi à l’étranger.La méthode a ainsi évolué, s’enrichissant de nouvelles roches et de nouvelles indications.

 Les minéraux et notre ADN Les principes de cette déchélation minérale rejoignent les travaux relatant la présence de métaux au sein même de notre ADN. Pour que le codage génétique soit optimal, il est nécessaire que soient biodisponibles à ce niveau des métaux permettant à la molécule de s’ouvrir chimiquement afin que le mécanisme de codage ADN-ARNr puisse se faire. 

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Dernière modification le 18/10/2011

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